La Madeleine. L'allée de boules vandalisée
« Une fois de plus, une fois de trop », tempête Bernard Sinoquet, le président de la fédération des boules bretonnes du pays de Morlaix, très agacé par les dégradations commises il y a quelques jours (sans doute durant le week-end dernier), sur les deux allées de boules en terre battue situées à proximité du Mille-club dans le quartier de La Madeleine. Cette année, les allées ont été fortement dégradées à trois reprises, par des joueurs de pétanque, peu scrupuleux de respecter l'interdiction qui leur est faite d'utiliser des boules en métal sur cette allée fragile réservée à la boule traditionnelle bretonne. Les trous occasionnés par les lourdes boules en métal rendent une fois de plus inutilisables les allées. Les contrevenants, (malgré les panneaux d'interdiction) ont fait plus fort en détruisant le cadenas, les ferrures de fixation du portillon d'accès, ce même portillon qui a d'ailleurs disparu. Bernard Sinoquet, contrarié de ne pouvoir porter plainte, cet espace étant la propriété de la ville de Morlaix, s'interroge sur les suites à donner à cette accumulation de dégradations volontaires.
« Une fois de plus, une fois de trop », tempête Bernard Sinoquet, le président de la fédération des boules bretonnes du pays de Morlaix, très agacé par les dégradations commises il y a quelques jours (sans doute durant le week-end dernier), sur les deux allées de boules en terre battue situées à proximité du Mille-club dans le quartier de La Madeleine. Cette année, les allées ont été fortement dégradées à trois reprises, par des joueurs de pétanque, peu scrupuleux de respecter l'interdiction qui leur est faite d'utiliser des boules en métal sur cette allée fragile réservée à la boule traditionnelle bretonne. Les trous occasionnés par les lourdes boules en métal rendent une fois de plus inutilisables les allées. Les contrevenants, (malgré les panneaux d'interdiction) ont fait plus fort en détruisant le cadenas, les ferrures de fixation du portillon d'accès, ce même portillon qui a d'ailleurs disparu. Bernard Sinoquet, contrarié de ne pouvoir porter plainte, cet espace étant la propriété de la ville de Morlaix, s'interroge sur les suites à donner à cette accumulation de dégradations volontaires.
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